Version 2.0 de Garbage avec Without You I’m Nothing de Placebo, est certainement l’album que j’ai le plus écouté ces 20 dernières années.
Mon histoire avec Garbage a commencé alors que je passais l’après midi chez un ami d’enfance quand j’avais 16 ans. À cette époque on entendait assez souvent “Stupid Girl” à la radio. J’aimais beaucoup cette chanson et l’ami en question m’avait fait découvrir le premier album éponyme du groupe. Cependant ce n’est qu’à la sortie du deuxième album Version 2.0, notamment avec les titres « Push It » et « The Trick Is To Keep Breathing » que j’accrocherai définitivement. Un camarade de lycée me prêtera l’album et j’achèterai quelques mois plus tard la réédition avec le live à Roskilde en cd bonus.
Anecdotes de l’époque, plaisir non dissimulé d’entendre « Temptation Waits » dans un épisode de Buffy The Vampire Slayer ou « Sleep Together » dans un épisode de Dawson’s Creek.
Juillet 1999, un gros dilemme se présente à moi. Alors que je venais d’obtenir mon bac, 2 festivals avaient lieu non loin de chez mes parents en Bretagne ! Les Vieilles Charrues avec Massive Attack période Mezzanine et Saint Nolff avec Garbage et Underworld notamment.
Pensant avoir plus d’occasions de revoir Garbage et ne pouvant pas faire les 2, je me décide à aller voir Massive Attack.
Excellent souvenir, mais malheureusement je n’aurais pas la chance de voir Garbage en Live avant l’Olympia 2005…Je me suis rattrapé depuis.
À la différence de Placebo, les prestations Live de Garbage offrent plus de surprises. La personnalité magnétique, très attachante de Shirley Manson y est pour beaucoup. L’ambiance parmi les fans lors des concerts de Garbage est également beaucoup plus cool que les premiers rangs lors des concerts de Placebo.
Vu que je ne pouvais pas assister aux concerts on s’échangeait les bootlegs avec d’autres fans. C’est d’ailleurs comme cela que j’ai pu mettre la main sur le Live de St Nolff 1999 ou encore sur celui de St Malo 1996.
Stéven